Introduction
A. Tout change mais rien ne bouge
B. Une triple nécessité du recours à l’action et/ou à l’acteur en géographie 1) Raison de méthode : qualifier l’action dans l’espace 2) Intérêts problématiques : analyse les processus plutôt que les résultats 3) Perspectives théoriques : vers un constructivisme actoriel ?
C. Questions, écueils et précautions pour l’usage de la terminologie « acteurs » 1) Différencier l’acteur parmi l’ensemble des actants 2) Accepter l’ensemble des synonymes 3) User à la fois des classifications pour expliquer et des typologies pour comprendre 4) Poser la question de méthode 5) Ajouter là a question de « l’expression des acteurs », celle de « l’interprétation des actions » 6) Reconnaître que l’acteur agissant n’est pas nécessairement un acteur institutionnalisé 7) Différencier « capacité à agir » et « ressources pour agir » 8) Donner du sens au jeu des acteurs et chercher les logiques de l’action
D. Une posture de recherche interactionniste ?
A. Légitimité de l’acteur
B. Visibilité de l’acteur
C. Les paradigmes interactionnistes autour de la question de l’acteur 1) Premier paradigme : l’interaction 2) Second paradigme : la construction 3) Troisième paradigme : l’interprétation 4) Quatrième paradigme : la compréhension
D. Les niveaux d’objectivation des réalités géographiques construites par l’acteur
1) Des perspectives différentes 2) Tout individu est acteur 3) Des paradigmes privilégies pour cette appréhension et compréhension de l’acteur 4) Le refus des catégories a priori 5) La question des déterminations
Éléments bibliographiques