André-Fréderic Hoyaux, Romain Lajarge, Solène Gaudin, Christophe Guibert, Sylvain Guyot, Régis Keerle, Jean-Pamphile Koumba, Yann Leborgne, Yvon Le Caro, Caroline Lenoir, Françoise Philip, Emmanuelle Renaud-Hélier, Eugénie Terrier, Anne Winter, Charles-Edouard Houllier-Guibert, Sébastien Jacquot.
Introduction
A. Tout change mais rien ne bouge
B. Une triple nécessité du recours à l’action et/ou à l’acteur en géographie 1) Raison de méthode : qualifier l’action dans l’espace 2) Intérêts problématiques : analyse les processus plutôt que les résultats 3) Perspectives théoriques : vers un constructivisme actoriel ?
C. Questions, écueils et précautions pour l’usage de la terminologie « acteurs » 1) Différencier l’acteur parmi l’ensemble des actants 2) Accepter l’ensemble des synonymes 3) User à la fois des classifications pour expliquer et des typologies pour comprendre 4) Poser la question de méthode 5) Ajouter là a question de « l’expression des acteurs », celle de « l’interprétation des actions » 6) Reconnaître que l’acteur agissant n’est pas nécessairement un acteur institutionnalisé 7) Différencier « capacité à agir » et « ressources pour agir » 8) Donner du sens au jeu des acteurs et chercher les logiques de l’action
D. Une posture de recherche interactionniste ?
A. Légitimité de l’acteur
B. Visibilité de l’acteur
C. Les paradigmes interactionnistes autour de la question de l’acteur 1) Premier paradigme : l’interaction 2) Second paradigme : la construction 3) Troisième paradigme : l’interprétation 4) Quatrième paradigme : la compréhension
D. Les niveaux d’objectivation des réalités géographiques construites par l’acteur
1) Des perspectives différentes 2) Tout individu est acteur 3) Des paradigmes privilégies pour cette appréhension et compréhension de l’acteur 4) Le refus des catégories a priori 5) La question des déterminations
Éléments bibliographiques
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| Année | Ville | Thème |
|---|---|---|
| 2006 | Rennes | L’espace social : méthodes et outils, objets et éthique(s) |
| 2005 | Montpellier | Imaginaires, Territoires, Sociétés |
| 2004 | Toulouse | Les temporalités du territoire, les territoires du temps |
| 2002 | Nantes | Nouveaux espaces, nouveaux rapports à l’epsace, nouveaux territoires. Un temps pour le débat sur la nouveauté |
| 2001 | Caen | Parcours, positions, implications : quelle(s) géographie(s) pour-quoi faire ? |
| 2000 | Toulouse | L’interdisciplinarité, mode d’emploi ? |
| 1999 | Bayonne | Questions sociales et villes moyennes |
| 1998 | Blaison-Gohier | Comportements politiques et religieux. L’exemple de l’Anjou |
| 1997 | Entre-deux-mers | titre à préciser |
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Odette Louiset, Anne Volvey, Cécilia Bordas, Pauline Bosredon, Linda Bouifrou, Marion Cauhope, Lucie Desjouanet, Frank Dorso, Marie-Bénédicte Guérin, Cédric Le Bodic, Mathieu Petite, Jean Rivière, Aude Rouger, Pierre Sintès, Fatima Tahraoui, Emmanuel Bioteau, Béatrice Chaudet
Citer cette synthèse :
ATELIER TERRAIN (Odette Louiset, Anne Volvey, Cécilia Bordas, Pauline Bosredon, Linda Bouifrou, Marion Cauhope, Lucie Desjouanet, Frank Dorso, Marie-Bénédicte Guérin, Cédric Le Bodic, Mathieu Petite, Jean Rivière, Aude Rouger, Pierre Sintès, Fatima Tahraoui, Emmanuel Bioteau, Béatrice Chaudet.), 2006, « Choix et contraintes des terrains – Synthèse des débats », Ecole d’Eté de Géographie Sociale, UMR ESO, Rennes.
Avant de laisser la parole aux différents participants et auditrices, et en les remerciant d’être présent, nous souhaitons donner quelques compléments d’informations sur l’origine et le déroulement de l’Atelier « Choix et contraintes des terrains en sciences sociales ».
Conscients de la nécessité d’un débat autour des « Outils et méthodes, objets et éthique(s) en sciences sociales » et pour répondre aux préoccupations des jeunes chercheurs, un collectif de jeunes chercheurs de l’UMR ESO s’est engagé à organiser l’Ecole d’été de géographie sociale à Rennes en 2006 (eegs-rennes-2006) en proposant une réflexion sur les thèmes suivant : Acteurs, Terrains et Éthique.
Le travail de synthèse de chaque Atelier se distingue par son mode opératoire. Nous présentons ici uniquement le cas de l’atelier Terrain. Dans un souci de transparence et afin de garantir une véritable restitution des échanges, nous avons mis en ligne les textes proposés suite à l’appel et lu par chacun des participants en préalable aux débats. Au-delà des textes proposés, la synthèse des débats permet d’enrichir la réflexion sur cette notion et de partager l’expérience de ces discussions.
L’organisation d’un tel débat avait pour objectif de faire apparaître les questions émergentes, les pistes de réflexions... Les débats ont donc été retranscris dans un premier temps puis soumis à chacun des participants, permettant ainsi d’assurer de la justesse des propos retranscris et d’enrichir la synthèse.
Quelques mots clés :
Fieldwork / Objet épistémologique
Terrain de recherche / Terrain de la thèse
Parcours initiatique / Rituel de terrain
Ailleurs / Altérité
Terrains imposés / Interdits
Rendus du terrain
Quelques attentes :
La traduction / Transposition des discours, des pratiques.
La personnification du terrain.
Terrain et comparatisme.
Qu’est-ce que faire du terrain d’aujourd’hui ?
Existe t il un terrain de la géographie sociale ?
Introduction.
i.1. Terrain et sciences sociales i.2. Théorie versus approche empirique : le terrain, « entre-deux » ?
1. « Le terrain, nous le créons de toute pièce : c’est le chercheur qui le produit ».
1.1. Terrain de thèse versus terrain de recherche 1.2. D’un débat sur le terrain amont / aval de la recherche aux enjeux de recherche liés au choix du(des) terrain(s). 1.3. Le terrain, étape clé de la recherche.
2. Le terrain est un « ailleurs ».
2.1. L’ Ailleurs est-il possible sur un terrain proche ? Témoignages d’expériences 2.2. L’Ailleurs au travers d’un terrain lointain : témoignages d’expériences. 2.3. Faut-il multiplier les terrains ? Du recours à la comparaison : questionner les intentions. 2.4. Au sujet de la distanciation entre chercheur et terrain(s) : une réflexion sur soi…
3. Le chercheur et « son » terrain : quelle légitimité ?
3.1. La position du chercheur sur le terrain. 3.2. Différents terrains : ceux imposés, ceux autorisés… 3.3. Le terrain, « son » terrain, et les finalités d’une recherche.
4. Les écueils ou dangers méthodologiques du terrain.
4.1. Quant à la recherche de l’exhaustivité : une certaine utopie. 4.2. « Limiter spatialement le terrain » : le terrain entendu comme objet ou espace d’étude... 4.3. A chaque terrain des outils spécifiques… adaptations aux contraintes.
5. Rendus et représentations du terrain.
5.1. Les carnets de bords, l’usage du croquis, l’itinéraire photo. Autant de ressources mobilisables dans le rendu. 5.2. Retransmettre son vécu et son implication sur le terrain : une nécessaire introspection ? Où l’on aborde la question des rituels de terrain… 5.3. Ne pas mythifier ni mystifier le terrain.
6. Remarques complémentaires.
Éléments bibliographiques.
lire la synthèse complète dans le document pdf
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Les synthèses des ateliers acteurs, terrains et éthique(s) ont été mises en ligne, consultables dans la rubrique Rennes 2006, au sein de chaque atelier. Il est possible de réagir sous chaque synthèse.
Bonne lecture et bonne année !
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